Les Editions BRAQUAGE
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Au 36ème Salon du Livre


Pour la deuxième année consécutive, nous nous sommes rendus Porte de Versailles, à Paris, pour assister au 36ème Salon du Livre, qui se tenait du 17 au 20 mars.

Il est toujours agréable d’aller à la rencontre des lecteurs, des auteurs, des autres éditeurs et des journalistes qui peuplent le salon chaque année.

En 2015, nous avions tout fait pour que les médias présents relaient notre propos, harponnant Le Petit Journal de Yann Barthès et Le Before du Grand Journal (l’émission était encore diffusée sur Canal+), les chroniqueurs de l'émission On n’est pas couché de Laurent Ruquier, et d’autres.

Notre objectif : faire entendre ce message, toujours le même, en faveur des auteurs, pour une meilleure rémunération de leur travail d’orfèvre.

Certaines des choses que nous avions alors entreprises pendant ces quatre jours s’étaient concrétisées. Nous nous souvenons : être présent ici et faire découvrir les Éditions Braquage, une maison d’édition qui n’avait alors que cinq mois, était une première étape déjà belle et importante.

En 2016, nous y sommes donc retournés avec un an de plus et la même détermination.

Cette fois, nous avons pu échanger avec la ministre de la Culture et de la communication, Audrey Azoulay, très à l’écoute, lui expliquant pour la première fois notre ligne de conduite, et la grande nécessité de tout faire pour que les auteurs puissent vivre de leurs écrits.

Braquant quelques sourires, nous avons présenté à d’autres passionnés notre modèle, les informant par ailleurs que d’autres livres devraient être publiés dans les mois à venir, sous notre bannière.

Le Salon du Livre est un moment important, une parenthèse, un baromètre qui montre l’état de santé de la profession. Si l’on en croit le nombre de stands, d’exposants, d’éditeurs présents pour l’événement, elle se porte très bien. Et c’est une très bonne chose. Mais peut-on en dire autant pour les auteurs les moins exposés ?


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